CE et CSE
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Entreprises
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Prestataires de loisirs
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Rosureux
Au sein d’un Bassin Industriel, Belleherbe (25380), dans le département « Doubs » (25), dans la région « Bourgogne-Franche-Comté », capte une population de cinq cent soixante-dix-sept résidents. Cette ville concentre 22 entreprises de services, 8 négoces,et 0 hôtel(s).
L’encyclopédie en ligne Wikipedia dit : « L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (76,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (76,1 %), prairies (23,9 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui).
D’abord simple ermitage appelé « Sainte Foy » au XIVe siècle, Rosureux commença à exister lorsque, un siècle plus tard, les religieux de Vaucluse y firent construire deux moulins : le moulin banal et le moulin de la Thouyère. Mais à peine né, le village, situé sur un axe de passage, eut à souffrir de l’armée des Confédérés en 1474. Les habitants se réfugièrent dans les grottes du voisinage (ils retrouveront ce réflexe de survie lors des ravages de la soldatesque de Bernard de Saxe-Weimar pendant la guerre de Dix Ans).
La Révolution française ne rencontra pas beaucoup d’échos à Rosureux. Le 18 juin 1793, le comité de Salut Public du district dénonça le sieur Journot qui « réclamait l’autel et le trône », mais cette affaire n’eut pas de suite. Par contre, lors du soulèvement de la Petite Vendée, cinq habitants de Rosureux (Claude François Pepiot, Eloi et François-Xavier Relange, François-Joseph Journot et Jean-Ignace Simon) passèrent en jugement. Le 7 février 1794, un certain Félix Simon, 61 ans, fut accusé d’avoir traité les députés, les patriotes et les prêtres assermentés « de gueux, de vauriens, de canailles sans foi, sans loi, sans religion ». Nodier le fit traduire devant le tribunal révolutionnaire de Paris qui le condamna à la guillotine.
Rosureux devint l’un des refuges préférés des prêtres réfractaires. Le 9 janvier 1796, les gendarmes arrêtèrent l’abbé Filsjean sur la route de Belleherbe mais plusieurs habitants de Rosureux et de Charmoille les obligèrent à le relâcher. Le retour à Rosureux aux cris de « vivent les aricots » fut un triomphe. Le prêtre trouva asile chez Ignace Journot et plusieurs hommes commandés par Jean-Ignace Simon, adjoint, se portèrent volontaires pour lui servir de gardes du corps.
Enfin, le 26 mai 1797, on coupa l’arbre de la Liberté. »