CE et CSE
Vous êtes un comité d’entreprise ou un comité social et économique ? vous tâchez de dégoter une activité de groupe autour de Pont-de-Roide (25150) ?
Par l’intermédiaire du site Mes Sorties, sélectionnez de façon très aisée un vaste choix d’activités non loin de Pont-de-Roide (25150) !
Un échantillon d’activités recensées dans notre catalogue : visite, multi-activités, en famille, activités culturelles, pique-nique, tir à l’arc, et caetera.
Avec MesSorties.fr, 1er site qui donne l’opportunité de découvrir, déterminer et coordonner des activités de groupe en une poignée de minutes, visitez sur-le-champ notre catalogue d’activités de groupe pour les CE ou les CSE !
Entreprises
Pour le bien d’une organisation, vous consultez le site web messorties.fr pour repérer une activité (team builing…), un lieu (de meeting…), et/ou un prestataire à Pont-de-Roide (25150) ?
Par l’intermédiaire du site web Mes Sorties, trouvez de façon facile une sélection considérable d’activités et/ou un fournisseur (coach professionnel en entreprise…) dans les environs de Pont-de-Roide (25150) !
Un avant-goût des activités recensées de notre catalogue : cohésion d’équipe, site de congrès, gestion totale de vos évènements, développement personnel, bowling, géocaching, etc.
Avec MesSorties.fr, première plateforme web qui facilite le fait de trouver, déterminer et monter des activités de loisirs très aisément, parcourez sans tarder nos offres d’activités pour les organisations !
Prestataires de loisirs
Vous êtes un prestataire installé non loin de Pont-de-Roide (25150) ? Vous avez envie de ajouter votre liste d’activités de loisirs (découverte, laser game, escape game, réalité virtuelle, jeux, foot en salle, plongée sous marine, liste non exhaustive) ? Ne passez pas à côté d’une opportunité sans pareil !
Inscrivez-vous dès aujourd’hui, cela ne coûte rien, dans le catalogue de notre site avec pour intention de communiquer vers les comités d’entreprise ou les comités sociaux et économiques et les organisations de MesSorties !
Dambelin
Au sein d’un Bassin Industriel, Pont-de-Roide (25150), au sein du département « Doubs » (25), dans la région « Bourgogne-Franche-Comté », fédère une population de quatre mille sept cent quatre-vingt-trois individus. Cette ville regroupe 94 sociétés de services, 80 entreprises de négoce, et 2 établissement(s) hôtelier(s).
Dans l’encyclopédie en ligne Wikipedia, « L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui).
Il est possible que des habitants de Mandeure se soient aventurés dans la région de Dambelin et soient à l’origine du lieu-dit Combe-d’Hians qui serait la transformation de Combe-de-Diane (vallis Dianae). Ce nom lui est donné dans d’anciens manuscrits et dans les registres de la paroisse. Ainsi ce lieu aurait été habité depuis l’époque romaine.
L’étymologie du nom de la commune pourrait être Dominus Benignus (saint Bénigne) ou dam (vallon) et bal ou bel (rivière). Toujours est-il que dans tous les anciens titres il est fait mention de « ecclesia sancti Benigni et Sancti Deicoli » ce qui privilégierait l’origine religieuse. En 970 le roi Lothaire mentionne dans un texte le « Domnus Benignus » et il peut ici s’agir aussi de Dambenoît. Mais au Xe siècle et XIe siècle, Bénigne se traduisait par Balain, Belin ou Barrain qui devait être le vocable utilisé pour Dambelin et qui est orthographié Dom-Balain et Damp-Belin dans des titres du XVe siècle et XVIe siècle. Le village apparaît pour la première fois dans une charte d’Humbert de Scey, archevêque de Besançon en 1147 qui en confirme quelques droits au prieuré de Lanthenans ainsi qu’en 1178 dans une bulle du pape Alexandre III qui citait Dambelin et son église comme appartenant à l’abbaye de Lure. L’origine ancienne de Dambelin pourrait s’expliquer par le défrichage de sa partie supérieure dès le VIIe siècle ou VIIIe siècle, époque où existait déjà le monastère de Lanthenans. »